Les Egyptiens de l’Antiquité croyaient à la survie de l’âme après la mort. Ils pensaient qu’après la mort du corps physique, l’âme du défunt pouvait renaître et accéder au royaume des morts. C’est pour cela qu’ils accordaient une grande importance aux cérémonies liées à celle-ci.
Chez les Navajos, la mort est une renaissance car il y a véritablement une vie après la vie.
Chez les amérindiens, le passage dans le monde des esprits est une longue étape qui se prépare avec pour le défunt, différents stades de purification.
Il y a dans les pratiques chamaniques de guérison une collaboration avec le monde des esprits donc reconnaissance et « utilisation à des fins thérapeutiques » d’un ailleurs, d’un au-delà, des autres dimensions de la vie.
Les mots sont souvent « limitants » pour traduire la réalité de ces dimensions invisibles aux yeux de la plupart …
Je viens de perdre un ami cher à mon cœur et avec nos amis (ies) nous discutions de l’incinération.
Voilà ce que je crois juste pour moi juste et vrai :
L’être à trois corps : physique, éthérique et spirituel, le corps éthérique reste en liaison avec le corps physique.
C’est pour cela qu’on n’a pas le droit de brûler le corps physique volontairement. C’est faire souffrir le corps intermédiaire, le corps éthérique. Si l’âme doit survivre, au moins donnons-lui la chance de survivre.
Si tu brûles le corps, c’est complètement fini. L’âme n’étant pas immortelle
par principe, et doit gagner son
immortalité. Donnons-lui l’occasion et une chance de la sauver.
Si vraiment cette dernière réincarnation tout est donné à la personne, et que cela ne l’intéresse pas, c’est fini. L’âme disparaît dans la mort physique. Il n’y a plus rien. C’est vraiment fini.
« Celui qui ne croit pas à l’immortalité de son âme, ne fait que se rendre justice lui-même ».
BODHICITTA